Red Dead Redemption 2 PS4
Bienvenue dans Red Dead Redemption 2 pour vivre une histoire épique au cœur de l'Amérique à l'aube de l'ère moderne.
En 1899, l'ère de l'Ouest sauvage en Amérique touche à sa fin. Alors que les autorités ont décidé de traquer les dernières bandes de hors-la-loi qui sévissent encore, ceux qui ne se rendent pas ou résistent sont tués.
Suite à un braquage qui a mal tourné dans la ville de Blackwater, Arthur Morgan et le reste des hors-la-loi de la bande de Dutch van der Linde prennent la fuite vers l'Est.
Agents fédéraux et chasseurs de primes du pays se mettent à leurs trousses et la bande commet méfaits sur méfaits dans les vastes terres sauvages de l'Amérique dans un seul et unique but : survivre. Alors que des querelles internes menacent de faire voler la bande en éclats, Arthur est tiraillé entre ses propres idéaux et sa loyauté envers la bande qui l'a élevé.
Découvrez sans plus tarder les trailers de votre jeu Red Dead Redemption 2 :
Pour moi, Red Dead Redemption 2 n’est pas juste un jeu, c’est une expérience humaine. Chaque instant passé aux côtés d’Arthur Morgan est empreint de mélancolie et de beauté. C’est un voyage que je n’oublierai jamais — une lettre d’amour à la liberté, à la nature et à la fin d’un monde.
Pas loin d'être le meilleur jeu de la décennie, bien plus immersif qu'un GTA V, avec tous les taquets à fond : graphismes, ambiance sonore, scénario (même si ça reste du western...), taille de la carte, détails dans les décors, ... On se surprendra toujours à relancer une partie de temps en temps, juste pour le plaisir d'arpenter des paysages magnifiques.
Tres bon jeux avec de bon graphisme de bonne missions d’incroyable personnage et une digestion de vie époustouflante, red dead redemption 2 est fort en emotion je recommande
Que dire du meilleur jeu du siècle, tout simplement : parfait il n’y a rien a dire de plus, les graphismes, l’ambiance, la musique, le thème.. rien n’est à revoir, un peu moins fan du online par contre, ça reste un 10/10
Red Dead Redemption 2 n’est pas seulement un jeu vidéo. C’est une expérience. Un voyage. Et peut-être, tout simplement, le plus grand jeu jamais créé à ce jour. Il ne s’agit pas d’une exagération, mais d’un constat lucide quand on observe l’ambition, la qualité d’exécution et la densité du contenu que Rockstar Games a livré ici. Dès les premières minutes, on comprend qu’on a affaire à quelque chose de rare. Le monde est profondément vivant : les PNJ ne sont pas de simples figurants mais des individus avec leurs propres routines, habitudes, discussions et réactions. Certains se souviendront de vous, d'autres changeront d'attitude en fonction de vos actions. Le niveau de détail est stupéfiant : de la neige qui s'accumule sur les vêtements, aux dialogues contextuels dynamiques, en passant par la manière dont votre cheval interagit avec l'environnement… tout semble pensé, crédible, cohérent. C’est à ce niveau qu’on réalise que Rockstar joue dans une autre dimension. Le monde de RDR2 n’est pas qu’un décor : il est interactif, réactif et transformable. Vos choix ont un impact. Vous pouvez être un justicier honorable ou un hors-la-loi impitoyable, épargner ou tuer un personnage secondaire… sans jamais que le jeu vous freine. Il vous laisse une liberté inégalée, au point que vous pouvez saboter votre propre aventure, tuer un donneur de quête, ou rater des pans entiers de contenu — mais tout reste organique. Cette liberté réaliste, loin des mondes ouverts artificiels, est un pilier du jeu. Évidemment, ce niveau de réalisme a un prix : le jeu est lent. Les animations (dépouiller un animal, fouiller une armoire…) prennent leur temps. Le rythme général est posé, contemplatif. Certains y verront une faiblesse, d'autres une force. Rockstar ne cherche pas à plaire à tous, mais à immerger pleinement dans la vie de l’époque, où chaque geste compte, où chaque minute passée renforce l’immersion. Et puis, il y a l’histoire. C’est là que RDR2 passe de "grand jeu" à "chef-d’œuvre". Le scénario, les dialogues, l’écriture… tout est d’un niveau rarement atteint dans le jeu vidéo. Arthur Morgan, personnage principal, est l’un des plus profonds jamais créés : un hors-la-loi pris entre loyauté et doute, cherchant un sens, une forme de rédemption dans un monde en mutation. On le voit évoluer, se questionner, changer. Il est humain, touchant, nuancé, et porté par un doublage d'une justesse remarquable. L’ensemble du casting est d'ailleurs d'une qualité exceptionnelle, chaque personnage ayant sa propre histoire, ses contradictions, ses forces et ses failles. Le storytelling est maîtrisé de bout en bout. Rockstar excelle dans les dialogues, les cinématiques, les moments intimes comme les grandes séquences d’action. On passe de scènes tragiques à des instants de pure camaraderie ou d’humour, avec une fluidité rare. Et ce qui rend le tout encore plus fort, c’est l’intégration naturelle de ces moments dans le monde ouvert : rien ne sonne faux, tout paraît organique. Sur le plan visuel, RDR2 est somptueux. Les paysages sont variés, majestueux, sublimés par une lumière incroyable et des effets météorologiques dynamiques. On peut passer des heures à se balader à cheval sans objectif, juste pour admirer une vallée au lever du soleil ou pêcher au bord d’un lac paisible. Le gameplay, lui, reste fidèle à l’ADN Rockstar : classique dans sa structure, mais enrichi d'une multitude d'interactions. Le système de chasse est complet, la gestion du camp immersive, et le lien avec votre cheval apporte une vraie dimension émotionnelle. Le jeu regorge d’activités secondaires, d’événements aléatoires, de secrets à découvrir, de rencontres imprévues… Il y a toujours quelque chose à faire, et surtout, toujours quelque chose d’imprévu qui peut arriver. ABSOLUTE MASTERPIECE !!!